Dimanche 20 mai 2012 : Balade à Bistroff


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PRÉSENTATION, POINTS DE VUE ET/OU POINTS HISTORIQUES...

Les Mardelles : Vestiges d'anciennes maisons, comprenant un trou et un toit en bois. Cependant personne n'a expliqué la raison de cette technique de construction bien particulière qui consistait à s'enterrer plutôt que d'établir une hutte sur un terrain ou l'eau de ruissellement ne serait pas à craindre.

L'étang du Bischwald : De propriété privée, le milieu offre des conditions favorables à l'accueil d'une grande diversité d'oiseaux aquatiques et notamment des espèces nicheuses. Il est courant d'observer le passage de grues cendrées et des cigognes qui peuvent rester tout l'hiver. Les grues cendrées se regroupent le soir pour rejoindre le dortoir, souvent situé dans une cornée de l'étang.

Plaine du Bischwald : Ce panorama donne sur toute la plaine du Bischwald, composée d'une quinzaine de fermes isolées. On peut encore y distinguer des bâtiments de la base aérienne canadienne qui s'étendaient sur 600 hectares de terrain. L'armée française en est propriétaire depuis le départ des forces canadiennes en 1964.

Marais de Bruch, situé au sud-est de Lelling : Elément essentiel de la plaine de l'étang du Bischwald, le marais du Bruch constitue un maillon essentiel du cycle de l'eau. Il contribue à diminuer l'impact des crues en servant de bassin écrêteur et concourt à l'épuration des eaux de surface.


 Texte de Paul W.




COMPTE-RENDU...

Seule Dominique, son cheval Disco et sa fidèle compagne Choupette (jack russel) se sont déplacés pour cette rando à la journée avec Paul et Rolande.

Nous étions donc 3 cavaliers à démarrer de Guessling, via Lelling pour rejoindre la plaine du Bischwald. Sous un ciel ensoleillé nous avons longés les bois, les pieds dans l’eau, à telle point que l’on se serait cru dans des rizières. La nature a pris de belles couleurs avec les herbes hautes et les fleurs multicolores qui parsèment les immenses prairies de la plaine.

A la pause de midi, nous nous sommes arrêtés à l’étang des peupliers, et avons profité de l’ombre d’un immense peuplier pour déjeuner et nous reposer. Puis nous avons repris la route, en direction de l’étang du Bischwald. C’est une zone sauvage aux allures de Camargue, avec ses oiseaux (cigognes, cygnes…), sa végétation typique des zones humides, ses iris… Nous avons rejoint la forêt de Guessling pour revenir à notre point de départ après 5 bonnes heures à cheval.

A l’arrivée, nous avons rafraîchi et décrassé nos montures pleines de projections de boues avec la douche, puis avons pris une petite collation avant de se quitter. Merci à Dominique pour sa venue… sans quoi, cette rando n’aurait pas eu de raison d’être.

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 Texte de Rolande W.


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